vendredi 18 janvier 2013
"En France, la pilule contraceptive a récemment suscité pas mal d’émoi, et plus particulièrement la pilule de troisième génération (éthinylestradiol + désogestrel ou gestodène comme progestatif) ainsi que la pilule contenant de l’éthinylestradiol + drospirénone, parfois aussi classée comme “pilule de quatrième génération”,. Le ministre français de la Santé a décidé de ne plus rembourser ces contraceptifs et l’Agence française des médicaments (ANSM) a recommandé à tous les médecins français, lorsque qu’une contraception orale s’avère nécessaire, de prescrire une pilule contraceptive de deuxième génération contenant de l’éthinylestradiol + lévonorgestrel. Cette agitation ne provient pas de nouvelles données scientifiques mais fait suite à une affaire judiciaire. Etant donné que cette problématique suscite également des questions en Belgique, il nous paraît utile de passer brièvement en revue les preuves scientifiques existantes..."